Fibrillation auriculaire, une femme sur quatre à risque après la ménopause.  Mais les traitements sont de plus en plus efficaces

Fibrillation auriculaire, une femme sur quatre à risque après la ménopause. Mais les traitements sont de plus en plus efficaces

Portez une attention particulière à l’insomnie et au stress, qui augmentent les troubles du rythme. Mais grâce à un diagnostic précoce et à des thérapies adaptées, le risque de décès par crise cardiaque ou accident vasculaire cérébral chez les personnes souffrant d’arythmie a été réduit de 50 % au cours des vingt dernières années. Et un algorithme est également à l’étude pour comprendre qui va développer cette pathologie

Si vous pensez que les femmes sont protégées des maladies cardiovasculaires, voici une raison de plus pour y réfléchir à deux fois. On estime qu’environ 25 % de la population féminine, avec l’arrivée de la ménopause, souffrirait progressivement de fibrillation auriculaire, l’arythmie la plus courante de toutes, qui multiplie également par cinq le risque d’accident vasculaire cérébral si elle n’est pas détectée. Stress et l’insomnie seraient alors les cofacteurs qui pilotent le processus.