Ainsi la dépression ouvre la voie au diabète de type 2 (indépendamment de l’obésité)
Une étude anglaise révèle une association étroite entre humeur morose et pathologie métabolique. La prédisposition génétique et l’inflammation sont des facteurs clés expliquant cette relation. Surtout pour les femmes
Pour le cœur et le cerveau, on le sait, la dépression et le diabète sont des facteurs de risque à ne pas sous-estimer. Ils peuvent augmenter les risques de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral, altérant ainsi le profil cardiovasculaire, le cas échéant. Malheureusement, les deux affections se retrouvent souvent chez la même personne, même s’il est difficile de comprendre si l’une ou l’autre est venue en premier.