Souvenirs d’un traumatisme : après une guerre ou un deuil, chacun réagit différemment
Ceci est soutenu par l’une des premières études sur le sujet. Après un événement traumatisant, le cerveau s’active de manière unique chez chaque individu. Un pas en avant pour faire la lumière sur le syndrome de stress post-traumatique
Les mauvais souvenirs ne sont pas tous pareils. Certains, les plus traumatisants, sont plus intenses et apparaissent de manière répétée et intrusive. Un groupe de neuroscientifiques américains a étudié ce qui se passe dans le cerveau humain lorsqu’ils refont surface. L’étude, à laquelle a participé l’Icahn School of Medicine du Mount Sinai à New York, est parmi les premières à mettre en évidence que la mémoire associée au traumatisme active nos circuits neuronaux d’une manière différente et unique pour chaque individu.