Prévention, chercheur Albini : « Examinons quatre facteurs de risque pour rechercher une « non-tumeur » »
Grâce à la technologie, il est désormais possible d’identifier le risque de cancer grâce à des tests analysant l’instabilité génomique, l’inflammation chronique, le système immunitaire et la flore bactérienne intestinale.
Intervenant à la Conférence de Consensus « Nouvelle approche dans la prévention du cancer, le premier modèle au monde en Italie », tenue au Palais Giustiniani, au Sénat de la République, Adrien Albinide l’Institut européen d’oncologie, responsable du groupe de travail sur la prévention du cancer de l’Association américaine pour la recherche sur le cancer, explique comment intercepter le risque d’oncogenèse. Rossana Berardiprofesseur titulaire d’oncologie à l’Université Polytechnique des Marches et membre du Conseil National de l’Aiom (Association Italienne d’Oncologie Médicale), rappelle l’importance d’agir sur les modes de vie pour une prévention efficace.