Féminicides : attention à penser à la maladie mentale, l’agresseur n’a quasiment jamais de trouble mental
Une étude récente sur Médecine Légale analyse 3546 articles et 75 études. Les conclusions : le fémicide n’est pas une crise ou une perte de contrôle mais un comportement violent intentionnel lié à des facteurs sociaux et culturels
Seul un faible pourcentage, statistiquement insignifiant, de féminicides sont commis par des personnes atteintes de troubles mentaux diagnostiqués. C’est la conclusion partagée dans l’article Unveiling the Dark Nexus : Une revue systématique sur l’interaction de la santé mentale, de la toxicomanie et des facteurs socioculturels dans le fémicide De Emmanuelle Caroppo et autres, publié le 7 octobre 2023 dans la revue scientifique Médecine Légale.