I- Les acides gras trans incriminés dans le cancer du sein
Source JIM 2008
Le risque de cancer du sein est presque doublé chez les femmes ayant des taux élevés dans le sang d'acides gras trans, venant d'une consommation importante de produits alimentaires manufacturés. C'est ce que montre une étude conduite par des chercheurs de l'Inserm, de l'IGR et du CNRS, menée sur 25000 femmes françaises (étude E3N, composante française de l'étude européenne EPIC).
Ces acides gras trans sont générés lors de la fabrication industrielle de produits alimentaires comme les pains industriels, les viennoiseries, les gâteaux, les chips, les pâtes à pizzas...
De plus, alors que des études asiatiques avaient montré un effet protecteur des acides gras polyinsaturés oméga-3, l'étude française n'a pas mis en évidence de telle association.
L'absence d'effet observé dans les pays occidentaux peut être expliquée par le fait que la consommation d'acides gras oméga-3, qui viennent principalement du poisson, est beaucoup plus faible qu'en Asie.
Les chercheurs recommandent, à ce stade, une diminution de la consommation de produits manufacturés, source d'acides gras trans d'origine industrielle. Mais des études supplémentaires, notamment comparatives entre pays européens, doivent être menées pour confirmer ces résultats.
II- Les jus de pamplemousse, d'orange et de pomme font mauvais ménage avec les médicaments
Source Impact médecine actualités 22/08/2008
Une étude vient de montrer que la consommation de jus de pamplemousse, d'orange et de pomme diminue l'absorption de certains médicaments. Des résultats qui s'ajoutent à l'effet déjà connu du pamplemousse sur 50 médicaments, dont il augmente au contraire la toxicité.
Vingt ans après les premières mises en garde contre l'interaction du jus de pamplemousse avec certains médicaments, les jus d'orange et de pomme sont à leur tour pointés du doigt.
Alors que le pamplemousse était connu pour augmenter la biodisponibilité d'une cinquantaine de molécules, une étude canadienne présentée mardi aux Etats-Unis révèle qu'il pourrait aussi, tout comme les jus d'orange et de pomme, réduire l'absorption de certains médicaments. Le Dr David Bailey, de l'université Western Ontario, a notamment montré que ces jus diminuent de moitié l'absorption d'un anti-histaminique (fexofénadine), et réduisent l'efficacité de la ciclosporine, de bêta-bloquants (atenolol, celiprolol, et talinolol), de l'étoposide et de certains antibiotiques (ciprofloxacine, lévofloxacine et itraconazole).
Selon le Dr Bailey, « ce n'est que la partie visible de l'iceberg : nous allons découvrir de plus en plus de médicaments dont l'absorption est modifiée de cette manière ».
C'est la naringine ou un équivalent, présent dans ces fruits, qui bloquerait une protéine chargée de l'absorption des médicaments à travers la paroi intestinale. Cette étude est à prendre très au sérieux, et pousse à déconseiller la consommation de jus de fruits lors de la prise de médicaments.
III- Points clé de l'AFSSA sur les phyto-œstrogènes
- L'engouement actuel pour la consommation de phyto-œstrogènes sous la forme de complément d'extraits de protéines de soja enrichis en isoflavones ne repose pas sur la démonstration d'un effet bénéfique sur les bouffées de chaleur ou sur la démonstration d'un effet comparable à celui des œstrogènes. Les essais randomisés d'un apport contrôlé de protéines de soja (aliment) n'ont généralement pas montré de bénéfice significativement supérieur à celui d'un placebo sur les bouffées de chaleur
- Bien que les trois études réalisées dans des populations de femmes traitées pour cancer du sein n'aient pas montré d'effet particulier sur le sein on ne peut pas écarter le risque d'un effet de type œstrogène potentiellement dangereux.
- Il paraît prudent de ne pas recommander un apport d'un complément de phyto-œstrogènes ou d'isoflavones chez des femmes ménopausées aux antécédents de cancer du sein, bien qu'il n'y ait pas d'étude à long terme (recommandation de Santé publique)
- Un apport élevé (sup ou = 1mg/kg) en phyto-œstrogènes après un cancer du sein ne peut être recommandé. Un risque d'augmentation de la prolifération des cellules tumorales ne peut-être écarté. Une même dose est à respecter chez les femmes ménopausées
Une contre-indication devrait être mentionnée concernant - l'utilisation de ces compléments en présence de cancers hormonodépendants
La mention « Parlez en avec votre médecin » doit alerter les - consommateurs d'éventuelles contre indications (recommandation à vise du consommateur)
Une vigilance s'impose donc pour l'apport de phyto-œstrogènes chez les femmes qui présenteraient un cancer du sein ER+.
En dehors de cet aspect, les phyto-œstrogènes alimentaires n'apparaissent pas comme des
facteurs de risque de cancers. Si les études épidémiologiques, dans le limites rappelées plus
haut, suggèrent pour certains cancers (sein, endomètre, à un moindre degré, prostate) une
réduction de risque associée à leur consommation dans un profil alimentaire bien particulier,
il encore est difficile de leur attribuer un effet spécifique. Cette réduction de risque est
cependant soutenue par le résultat de certaines études animales, alors que d'autres font état
d'une augmentation de la prolifération de cellules tumorales hormono-dépendantes
Aussi, il est recommandé que les produits alimentaires contenant des phyto-œstrogènes soient étiquetés de la façon suivante :
o Aliments à base de soja (tonyu, miso, tofu, yaourts et desserts au soja) :
Contient Xmg d'isoflavones (famille des phyto-œstrogènes). A consommer avec
modération (limiter la consommation quotidienne à 1mg/kg poids corporel). Déconseillé
aux enfants de moins de 3 ans.
o Compléments alimentaires (phyto-œstrogènes purs ou extraits de plante en
contenant) et aliments enrichis :
Contient Xmg de [molécule (s) concernée (s)]* (famille des phyto-œstrogènes). Ne pas
dépasser 1mg/kg poids et par jour. Déconseillé aux femmes ayant des antécédents
personnels ou familiaux de cancer du sein. Parlez-en à votre médecin.
* isoflavones et/ou isoflavanes et/ou coumestanes et/ou flavanones et/ou
chalcones et/ou entérolignanes
Points clé et recommandations
Points clés
- Les études épidémiologiques et la plupart des études d'intervention ont rapporté un effet de la consommation de soja, et dans certains cas d'isoflavones sur l'allongement du cycle menstruel avec une tendance à la diminution des concentrations de l'estradiol et à l'augmentation de son catabolisme en composés peu actifs biologiquement.
Cet effet ne parait pas associé à un effet de type œstrogène sur l'endomètre ou la cytologie vaginale. -
- Les études épidémiologiques menées au Japon ont dans l'ensemble montré que la consommation de produits dérivés du soja est associée à un nombre et une sévérité moindre des bouffées de chaleur qu'en Europe. Mais, ces études n'ont pas cherché à identifier les facteurs de confusion possibles associés à la consommation traditionnelle de soja entre les populations asiatiques, nord américaines ou européennes.
L'engouement actuel pour la consommation de phyto-œstrogènes sous la - forme de complément d'extraits de protéines de soja enrichis en isoflavones ne repose pas sur la démonstration d'un effet bénéfique sur les bouffées de chaleur ou sur la démonstration d'un effet comparable à celui des œstrogènes. Les essais randomisés d'un apport contrôlé de protéines de soja (aliment) n'ont généralement pas montré de bénéfice significativement supérieur à celui d'un placebo sur les bouffées de chaleur
- Concernant le fort effet placebo des compléments de phyto-estrogène observé dans la plupart des études et la différence significative d'avec le placebo observée dans certaines études, on peut formuler l'hypothèse que certaines femmes ont un métabolisme particulier des isoflavones (production d'équol) qui pourrait augmenter leur biodisponibilité et leur activité œstrogénique expliquant leur effet favorable sur les bouffées de chaleur.
- Bien que les trois études réalisées dans des populations de femmes traitées pour cancer du sein n'aient pas montré d'effet particulier sur le sein on ne peut pas écarter le risque d'un effet de type œstrogène potentiellement dangereux.
Recommandations
1 - Recommandations à visée de connaissance et de recherche.
Mise en place d'études contrôlées présentant des effectifs - suffisants et calculés afin de répondre à la question ouverte des risques ou bénéfices de l'apport de soja et/ou d'isoflavones chez la femme ménopausée. Ces études d'intervention devront respecter les règles usuelles des essais thérapeutiques.
2- Recommandations de Santé Publique
Il doit être clairement mentionné que les produits dérivés du soja - ne doivent pas faire allégation de traitement alternatif au traitement hormonal substitutif de la ménopause.
- Il paraît prudent de ne pas recommander un apport d'un complément de phyto-estrogènes ou d'isoflavones chez des femmes ménopausées aux antécédents de cancer du sein, bien qu'il y ait pas d'étude à long terme
3- Recommandations à visée d'information du consommateur.
- Les consommateurs de produits dérivés du soja doivent être informés que ces produits contiennent des isoflavones dont il a été montré qu'elles pouvaient exercer des effets hormonaux. La composition en isoflavones de ces compléments doit être clairement mentionnée. La mention « Parlez en avec votre médecin » doit alerter les consommateurs d'éventuelles contre indications.
- La publicité sur les phyto-estrogènes doit être rigoureusement contrôlée.
Recommandations
1- Recommandations à visée de connaissance et de recherche
Epidémiologie
- La réalisation d'une table de composition complète et fiable des aliments consommés en Europe est l'étape nécessaire préalable à toute recherche épidémiologique. A la suite, les données de consommation des cohortes nationales (E3N, SU.VI.MAX) et européenne (EPIC) seront mises en relation avec l'incidence des cancers dans ces cohortes pour évaluer une possible relation. Le cas des lignanes demandera une attention particulière pour éventuellement séparer leur effet spécifique de celui des différents aliments vecteurs.
- Etant donné l'absence de marqueurs intermédiaires pertinents, des études d'intervention ne paraissent pas faisables. Mais on pourrait envisager un suivi des femmes consommant des compléments alimentaires à base de soja dans des conditions fiables de doses et de durée, en partenariat avec le réseau des phytothérapeutes. Un suivi pourrait s'appliquer également aux femmes présentant un cancer du sein et consommant par une démarche volontaire des compléments alimentaires contenant des isoflavones après ovariectomie et/ou traitement par le tamoxifène.
Etudes expérimentales in vivo
Elles demandent des modèles éventuellement extrapolables à l'Homme en terme de doses et des différents composés actifs. -
- Alors que les études expérimentales sont bien documentées quant au risque lié à une exposition en début de vie, celles concernant le stade menopausal sont encore trop peu nombreuses et un effort en ce sens est nécessaire afin de discriminer le risque chez des sujets sains et chez des sujets déjà atteints de cancer. D'autre part, quelques études expérimentales font état des risques d'interaction entre phyto-estrogènes et xéno-estrogènes. Des études mécanistiques en ce sens mériteraient d'être développées, en particulier des risques d'interaction avec des pesticides ou des migrants d'emballages présents dans notre alimentation, mais également avec des produits pharmaceutiques (pilule
contraceptive, hormonothérapie).
2- Recommandations de Santé Publique
- Les aliments à base de soja, tels le tonyu, le tofu, peuvent être adoptés sans excès, par les adultes, puisqu'ils diminuent l'apport en graisses saturées animales, et dans le cadre d'une alimentation équilibrée et diversifiée, en accord avec les recommandations de santé publique (PNNS). Cette dernière recommandation concernant une alimentation équilibrée s'applique notamment aux personnes qui penseraient prévenir le risque de cancer en consommant des compléments alimentaires à base d'isoflavones plaqués sur des habitudes alimentaires et un style de vie occidentale.
Certaines fenêtres d'exposition apparaissent comme des fenêtres à - risque. Ainsi, un apport élevé ( 1mg/kg) en phyto-estrogène pendant la grossesse ou après un cancer du sein ne peut être recommandé. Dans le premier cas car cette consommation pourrait ne pas être sans risque sur le développement du tractus génital et éventuellement augmenter le risque de cancers du testicule et du sein dans la progéniture. Dans le deuxième cas, un risque d'augmentation de la prolifération des cellules tumorales ne peut-être écarté. Une même dose est à respecter chez les femmes ménopausées
3- Recommandations à visée d'information du consommateur
- L'étiquetage doit préciser la teneur en phyto-estrogènes, exprimée en équivalents aglycone, notamment sur les aliments à base de soja et les compléments alimentaires. Ce qui signifie un contrôle des doses par les industriels à chaque fabrication avec un nouveau lot de soja.
- Une contre-indication devrait être mentionnée concernant l'utilisation de ces compléments pour une exposition in utero, et la présence de cancers hormonodépendants
IV- Cancer Gare aux compléments alimentaires hormonaux
lien ICI
V- Les dossiers nutrition
Lien ICI
VI- L'arnaque des compléments alimentaires
Source le Monde 2007 www.lemonde.fr
Ils envahissent les vitrines et les rayons des pharmacies. Ils promettent de "réduire le tour de taille", de "déstocker les graisses" ou bien de "ralentir le vieillissement", ou encore de "fortifier les ongles et les cheveux". Sous forme de gélules, comprimés ou ampoules, les compléments alimentaires, également vendus en grandes surfaces et sur Internet, ont représenté, en 2005, un marché florissant de 894 millions d'euros, en hausse de 7 % par rapport à 2004. "Un marché de la poudre aux yeux et des pilules
Après avoir comparé les promesses de 140 produits aux publications scientifiques référencées par le National Institute of Health, principale agence de recherche médicale américaine, et aux avis publiés par les agences sanitaires, la CLCV affirme aboutir à un résultat sans appel : "Les vertus des compléments alimentaires relèvent pour l'essentiel de l'affabulation."
Caféine, extrait de thé vert, acide linoléique conjugué ou chitosan : aucune de ces substances - très souvent rencontrées dans la composition des produits "minceur" - "n'a fait la preuve de son efficacité", souligne la CLCV. Idem pour l'huile de bourrache ou d'onagre contenue dans la plupart des produits censés améliorer "la santé de la peau" ou les apports en silicium promettant des cheveux "plus forts et plus sains". L'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) et la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) ne contestent pas l'enquête menée par la CLCV.
EXPLOSION DU MARCHÉ
Parce qu'ils dépendent du code de la consommation et non de celui de la santé publique, les compléments alimentaires n'ont pas besoin, contrairement aux médicaments, d'une autorisation de mise sur le marché (AMM). "Le biais est là", considère le professeur Irène Margaritis, chef de l'unité évaluation nutrition et risques nutritionnels à l'Afssa.
Résultat : les contrôles, menés par la DGCCRF, ne peuvent s'effectuer qu'après la commercialisation et porte essentiellement sur l'étiquetage pour vérifier que les allégations ne sont pas thérapeutiques. "Un complément alimentaire ne peut pas dire qu'il va prévenir telle ou telle maladie ou permettre une perte de poids", explique-t-on à la DGCCRF. En revanche, il peut tout à fait alléguer une "réduction du tour de taille". Les services de marketing ne s'y sont pas trompés et débordent de créativité pour contourner la réglementation.
L'Afssa ne peut travailler sur ces produits que si elle est saisie par la DGCCRF. Preuve de l'explosion du marché, le nombre de saisines est passé de 50 en 2000 à 100 en 2005. "Nous menons une évaluation à partir des connaissances scientifiques et des études cliniques fournies par les entreprises", explique le professeur Margaritis. Mais les preuves des allégations font souvent défaut. "Nous manquons beaucoup d'études cliniques bien menées, notamment dans le domaine de la minceur", déplore-t-elle. Ces dernières années, l'Afssa a rendu une série d'avis défavorables, notamment sur l'utilisation de la poudre de maca et sur la supplémentation en silicium. Après, c'est à la DGCCRF de contrôler la bonne application des avis de l'Afssa.
Il peut arriver que des allégations soient fondées scientifiquement mais qu'elles concernent une cible particulière et non la population en général. Il en est ainsi des suppléments en vitamines B9 pour les femmes enceintes ou en vitamines B12 réservés aux personnes âgées. "La question de la cible est très importante, insiste Mme Margaritis. Si notre alimentation est équilibrée et diversifiée, nous n'avons pas besoin de suppléments."
Voir en ligne le site de l' AFSSA : Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments
VII- Les aliments qui protègent
Quels aliments faut-il manger - ou éviter - pour se protéger des cancers ? Afin de s'y retrouver dans la jungle des études abordant le sujet, le Fonds mondial de recherche contre le cancer (Fmrc) vient de publier un rapport fort édifiant. Plus de 200 experts internationaux ont planché pendant cinq ans sur 22 000 études scientifiques, en retenant les 7 000 études les plus pertinentes.
Ils ont conclu que certains aliments accroissent le risque de cancers, avec un niveau de preuves qualifié de « convaincant ». A savoir, l'alcool augmente le risque de cancers des voies aéro-digestives supérieures (Vads : cancers de la bouche, pharynx, larynx, œsophage), du sein et de cancer colorectal (chez l'homme surtout). Manger de la viande rouge et de la charcuterie accroît le risque de cancer colorectal. Se supplémenter en bêta-carotènes amplifie le risque de cancer du poumon.
En revanche, aucun aliment ne s'est révélé protecteur « avec certitude ». Les experts n'ayant avancé que le qualificatif de protection « probable » de certains. Notamment, les fruits et légumes (hors féculents) réduiraient le risque de cancers des Vads, de l'estomac et du poumon. Les aliments riches en caroténoïdes (fruits et légumes orange, rouges ou jaunes) préserveraient des cancers Vads et du poumon. Ceux contenant de la vitamine C, ou du bêta-carotène (cassis, poivron, kiwi, brocoli, orange, laitue) protègent du cancer de l'œsophage. Les alliums (poireau, oignon) éviteraient le cancer de l'estomac. L'ail, les fibres et le lait prémuniraient du cancer colorectal. Les aliments riches en acide folique (petits pois, lentilles, épinards, cresson) permettraient d'échapper au cancer du pancréas. Et la tomate (riche en lycopène) ainsi que les aliments contenant du sélénium (poissons gras, fruits de mer, abats) au cancer de la prostate.
Dans leurs recommandations, les experts insistent sur les bénéfices à « être aussi mince que possible dans la fourchette de poids normale », établie, selon eux, à un indice de masse corporel (IMC) compris entre 21 et 23. En effet, les personnes en surpoids ont plus de risques de développer un cancer de l'œsophage, du pancréas, colorectal, du sein (après la ménopause), de l'endomètre, du rein et probablement de la vésicule biliaire.
Plus encore, la graisse située autour du ventre (tissu adipeux abdominal) augmente les risques de développer un cancer colorectal et probablement un cancer du pancréas, du sein (après la ménopause) et de l'endomètre.
Source : Actualités IMAAGE 28 février 2008
VIII- Colloque Nutrition et cancer du sein le 3 octobre 2008 au Sénat
Source : « Comités Féminins pour la Prévention et le Dépistage des Cancers »
Retrouvez toutes les informations sur le colloque sur le site internet des Comités Féminins pour la Prévention et le Dépistage des Cancers à l'adresse : www.comitesdepistagecancers.fr.
Bouger et bien manger réduit la survenue du cancer du sein : les études scientifiques le prouvent, une alimentation inadaptée et un style de vie trop sédentaire favorisent effectivement la survenue du cancer du sein. Or, grâce à une meilleure nutrition, on pourrait diminuer le nombre des 42 000 nouveaux cas diagnostiqués chaque année...
Quels sont les aliments qui peuvent aider à diminuer le risque de cancer du sein ? Quels sont ceux qu'il faut éviter à tout prix ? Quel mode de vie adopter pour bien équilibrer sa nutrition ? Les Comités Féminins pour la Prévention et le Dépistage des Cancers ont invité plusieurs éminents spécialistes, médecins et scientifiques, à répondre à ces questions lors du colloque :
Nutrition et cancer du sein
Le 3 octobre 2008
Au Sénat de 9h à 12h30 - Salle Clémenceau
Palais du Luxembourg
15 rue de Vaugirard
75006 PARIS
A partir des découvertes scientifiques les plus récentes, les experts invités bousculeront les idées reçues et donneront des recommandations concrètes pour que les femmes puissent facilement améliorer leur nutrition et adoptent la pratique d'une activité physique régulière.
Dominique