30 janvier 2010
6
30
/01
/janvier
/2010
09:38
Chez les patientes dépistées à un stade précoce et sans atteinte des ganglions, 40% des chumiothérapies seraient inutiles si on utilisait des marqueurs existants depuis plus de quinze à l'AP-HM.
La chimiothérapie est souvent proposée à titre préventif (80 à 90% des cas) après ou même avant la chirurgie pour supprimer des cellules tumorales non détectables. La diminution du risque de récidive peut varier de 5 à 50% selon les patientes.
Dans certains pays(Allemagne, Danemark ou Pays-Bas) le taux de chimio ne serait que de 40 ou 50% parce qu'ils utilisent la quantite deux marqueurs uPA et PAI présents dans la tumeurs.
L’APHM pense donc dans son dernier bulletin, que pour une grande majorité des patientes, la chimiothérapie est inutile car leur risque de récidive est très faible.
Ce test uPA/PAI est peu utilisé alors qu'il serait moins onéreux que ceux utilisés.
IL est pourtant le seul à avoir obtenu le "Level of evidence 1", le plus haut niveau de preuve justifiant son utilisation en routine, sa valeur pronostique a été confirmée en 2002 sur plus de 8 000 cancers par l’EORTC (European Organisation for Research and Treatment of Cancer) et l’American society of Clinical oncology (ASCO) l’a intégré depuis 2007 à ses recommandations.
Souce : Santé Log
Loupiotte
La chimiothérapie est souvent proposée à titre préventif (80 à 90% des cas) après ou même avant la chirurgie pour supprimer des cellules tumorales non détectables. La diminution du risque de récidive peut varier de 5 à 50% selon les patientes.
Dans certains pays(Allemagne, Danemark ou Pays-Bas) le taux de chimio ne serait que de 40 ou 50% parce qu'ils utilisent la quantite deux marqueurs uPA et PAI présents dans la tumeurs.
L’APHM pense donc dans son dernier bulletin, que pour une grande majorité des patientes, la chimiothérapie est inutile car leur risque de récidive est très faible.
Ce test uPA/PAI est peu utilisé alors qu'il serait moins onéreux que ceux utilisés.
IL est pourtant le seul à avoir obtenu le "Level of evidence 1", le plus haut niveau de preuve justifiant son utilisation en routine, sa valeur pronostique a été confirmée en 2002 sur plus de 8 000 cancers par l’EORTC (European Organisation for Research and Treatment of Cancer) et l’American society of Clinical oncology (ASCO) l’a intégré depuis 2007 à ses recommandations.
Souce : Santé Log
Loupiotte