Aujourd'hui, une grande partie des femmes soignées pour un cancer du sein localisé reçoivent une chimiothérapie, qui, même si elle s'est beaucoup améliorée, reste un traitement lourd, entraînant des séquelles.
Pour les femmes comme pour les médecins, les "signatures" moléculaires apportent l'espoir d'un traitement "personnalisé" du cancer, en donnant des informations pointues sur l'agressivité de la tumeur, déjà appréciée sur des critères cliniques comme la taille, et par des marqueurs plus classiques.
L'idée est d'éviter de "surtraiter" un cancer qui présente très peu de risque de rechute."
Cependant ces tests restent très chers et il n'est pas question de le utiliser de suite en france. L'Institut Gustave Roussy participe cependant à l'essai Mindact (un article a déjà été publié sur le blog) qui doit inclure 6000 personnes en Europe.
Lire l'article en entier
http://www.romandie.com/ats/news/091113090632.ddj8mr0q.asp
Autre article du 16/11
http://www.sudouest.com/accueil/actualite/france/article/770504/mil/5364168.html
Loupiotte